vendredi 10 août 2012

Day #3 : Encore des Buddha et la plage la plus laide.

Après un petit déjeuner des plus... particulier,
( Oeufs frits, "jambon/roti" local, pastèque, tomates et toast )
nous revoilà sur la route des vacances direction Gyeongju.

Après avoir posé les bagages au Love Hotel qui ressemble plus à une boite de nuit qu'à un hôtel familial, la visite des hauts lieux culturels a pu reprendre son cours.

Quelques dizaines de Bouddha plus tard nous avons aussi eu la chance de découvrir la plus laide plage possible.
Malheureusement après 19h les MNS s'en vont et la baignade est alors interdite.
Raison de plus qui nous poussent à penser qu'ils ne savent vraiment pas nager...
Ca et le fait que les bouées qui servent habituellement à jouer au célèbre "Viens on nage jusqu'à la bouée" sont approximativement à 6m du bord. La rouge pour les plus foufous doit quand meme etre à facilement 12m du bord.







Evidement 1000$ pour sonner la cloche et on a même pas le droit de frapper fort.







Un cheval au bord de l'eau, un éléphant au dessus de la piscine. Et personne ne dit rien.

Day #2 : L'incompréhension du pédiluve.

Quand on arrive au port à 15h19 et que le bateau démarre à 15h20, les coréens se transforme en Pékin Express.


C'est pas mal mais c'est pas le lac de Côme...










Le sport national : l'empilement de cailloux.


Dormir dans une station de ski décorée comme à Noël aura permis de mener une grande enquête : 
Les Coréens savent-ils nager ?

1er indice : Les piscines ne font que 50cm de profondeur maxi.

2em indice : Pour s'y baigner ils portent gilets de sauvetage et nombreuses bouées et autres lunettes de piscine et accessoires variés.
(S'ajoute à leur sexyness des t-shirts et des shorts même dans l'eau, peur de la nudité ou protection solaire ? On hésite encore.. )

jeudi 9 août 2012

Day #1 : Temples et écureuils anorexiques.

Première double journée plutôt fatigante sous le signe des embouteillages et de l'incompréhension.
Le pays est peut être dit en avance mais en avance sur qui ? Ca on a pas trouvé.









Et la grande découverte du séjour.

Le grand départ.

A peine l'épreuve des embouteillages surmontée que nous voilà gracieusement surclassées, mais ca, c'est parce qu'on "a choisi la bonne compagnie".


Plutot vers la gauche pour nous.



Se coller une mine dans l'avion ? Ca n'aide pas à gagner le million.